Mes paupières s’abaissèrent
En fermant la fenêtre
De volubile réalité,
Tangible inexactitude.
S’est ouverte la porte,
Magique inquiétude.
Je t’ai vu et senti,
J’ai respiré ton être.
Tu m’as regardée, sentie,
As respiré à mon rythme,
As fait tiens mes soupirs,
Tu as frôlé ma peau,
Embrassé mon silence,
attentif à mon souffle.
Mes paupières se levèrent,
Clarté aveuglante
Des rêves éveillés,
De promesses tenues.
GALIA
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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.