Essoufflée, je me suis arrêtée,
Je n'ai pas déccroché, juste respiré,
De fardeaux de vie mon dos été lestés,
Cette fois sous le poids, j'ai plié.
Mauvaise habitude de ne pas crier,
Toujours cette peur de déranger,
Cette manie de toujours m'isoler,
Ce besoin de ne plus communiquer.
Il n'y a pas de qualificatifs pour tout les maux,
Mais les silences savent les emporter dans les flots,
J'aurai pu de mes peine, dresser un grand drapeau,
Je me suis mise en berne pour ne pas vous noyer dans mes eaux.
Le temps, ce triste et bel amant,
Nous inflige constament,
L'art de gèrer solitairement,
Nos défaites et désapointements.
Mon amitié par vos libertés,
Ma liberté liée à ma réalité,
De reprocher et me blesser de m'être absentée,
D'être partie parmi les miens pour ne pas dériver. Patricia
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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.
Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;
Georges Bernard Shaw.