A toi mon cher ami,
Où sont passés tes sourires,
Pourquoi ces rides,
Sur ton visage si triste.
N'aurai-je pas vu,
N'aurai-je pas su,
Je te présente mes excuses,
Je suis piètrement confuse.
Regarde, je te tends mes mains,
Tu peux y déposer ton chagrin,
Tes peines ne me dérangent point,
Laisse-moi les partager au moins.
A tes lèvres faire naître le soleil,
Dans tes yeux naître une étincelle,
Ta tristesse assombrie mon ciel
Laisse-moi porter une parcelle .
Je ne suis pas l'elue de ton coeur,
Nous sommes confidents de nos peurs,
Tu peux me parler de tes douleurs,
Nous avons en nous la même pudeur; Patricia
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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.
Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;
Georges Bernard Shaw.