Un baiser sur mes lèvres déposé,
Pour réchauffer mon coeur brisé,
Une épaule pour m'appuyer,
Et enfin revivre ma féminité.

Te découvrir du bout des doigts,
Te chuchoter des mots tout bas
Sentir ton corps coller au mien,
Le voir s'exprimer sous mes mains.

Mes yeux chercher les tiens,
Au plus fort de notre étreint,
Dans des cris de délivrance,
Extérioriser nos souffrances.

Laissant nos corps enlacés,
De ton souffle je frissonnerai,
Pour ce plaisir enfin retrouvé,
Pour oublier ce qui l'avait endeuillé.

Je n'aurai qu'une crainte,
Te voir lacher ma mains,
De peur que naissent des demains,
Pour revêtir ta peau de chagrin. Patricia

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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.