Pour toi une tendre pensée,
Je n'ai pas hésité, je suis passée,
Des baisers plein mon panier,
Avec toi je viens les partager.

Attendre les auraient fânés,
Ils sont si tendres tout frais,
Aucun d'eux ne s est envolé,
Ils te sont bien tous destinés.

Ils sont différements aromatisés,
Les beiges sont caramélisés,
Les jaunes finements vanillés,
Au café ceux sont mes préférés.

Par lequel veux-tu commencer.
Prenons le temps de les apprécier,
Le panier il nous faudra le vider,
Je ne pourrai pas les ramener .


Approchons nous tout prés,
Ils pourraient nous échapper,
Je les sens vraiment pressés,
De bondir pour nous abreuver.


J'ai eu la chance de les trouver,
Ils ne poussent pas toute l'année,
Demain des nouveaux je cueillerai,
A d'autres parfums je les choisirai.


Gaffons-nous à pleines bouchées,
C'est une bonne façon de les déguster,
Ne compte pas sur moi pour te réfreiner,
Je suis autant que toi assoiffée. Patricia

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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.