Où est-il écrit qu'il fallait aimer
Déjà si difficile d'accepter
Et cette vie qui n'est que peines
Et les autres qui vous malmènent
Car je ne suis pas une sainte
Je ne suis pas une icône dépeinte

Qu'on me laisse en paix et tranquille
Je ne vous juge ni vous condamne
Ne demande ni insultes, ni flatteries viles
J'agis au mieux et n'ai besoin de blâmes
Je survis sur un tas de décombres
Qu'on me laisse dans ce tunnel sombre

Vous qui vous en détounez et combattez
Tombée, brisée, je la regarde en face
Je n'ai plus envers elle aucun rejet
Qu'elle me donne le coup de grâce
J'ai atteint ce bizarre état ultime
Où l'esprit acceote ce profond abîme

Je m'endors sans rêve ni lendemain
Je m'éveille sur un jour sans espoir
Triste automate, je vais et viens
Mes souvenirs comblent ce noir
Quand arrivera ce mystère
Je trouverai la seule lumière ..

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Ce que j'ai appris je ne le sais plus, le peu que je sais je l'ai deviné

Beau texte;le dernier paragraphe est superbe avec son image forte sur l'incertitude.

beau il est vrai, mais très mélancolique , troublant voir inquiètant, j'espère que c'est juste pour une composition poètique.amitiés Paula

Ton calme et ta sérénité ont un arrière gout d'amertume qui me fait craindre les réactions de ton cœur déchiré. Mais je distingue cependant une lueur d'espoir.
HONORE

Je m'endors sans rêve ni lendemain
Je m'éveille sur un jour sans espoir
Triste automate, je vais et viens
Mes souvenirs comblent ce noir
Quand arrivera ce mystère
Je trouverai la seule lumière ..

après l'obscurité..

viendra une petite lueur..là bas..

belle encre poétique

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

Merci à tous de vos commentaires. Amicalement, Paula

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Ce que j'ai appris je ne le sais plus, le peu que je sais je l'ai deviné

un calme et une sérénité empreints de mélancolie

Je vous decouvre, et j'adore ce que je lis,j'aime le dernier quatrain, i me ressemble beaucoup

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