Me voici à la croisée de ma vie,
Cheminement fait dans la meditation,
J'ai appris par des mues et transformations,
A me dépasser pour me faire grandir

Du recul face à mes débacles passées,
C'est une bonne façon pour progresser,
Ne rien regretter et accepter,
J'ai conscience que tout dois se gagner.

Pour avoir passer une partie de ma vie,
A me demander le pourquoi et pour qui,
J'ai vécu des années stériles,
A des questions et actions futiles.

Croisée de routes où je me perds ou me trouve,
Mes idées ouvertes créent les beaux jour,
Pour tuer les jamais et faire vivre les toujours,
Et ainsi bien affronter les peurs et doutes.

Ne pas avoir a à craindre les erreurs,
Pour améliorer mes futures bonheurs,
De ce fichu caractère pour moteur,
Je suis toujours debout devant l'épreuve.

Si je succombe un beau jour,
Ce sera d'un trop plein d'amour,
Mon grand défaut je l'avoue,
Mais j'en accepte le joug.


Parfois j'aimerai ne pas être gentille,
Pouvoir me dresser et sevir,
Mais j'ai en moi le pardon et l'oubli,
Pour ne pas ressembler à mes ennemis.

Je n'ai aucun gourou ou dieu,
Une philosophie très respectueuse,
Qui m'aide à trouver beaux les hideux,
Et avoir de la compasion pour eux.

Depuis toujours j'ai choisi,
Aimer ce monde même dans le pire,
Car la vie quoique l'on puisse dire,
Je l'aborderai avec le sourire. Patricia

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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.