Il connaît la vie,
Constante convulsion,
Vagues en furie.
Au soleil déclinant
Il trace des cercles,
Happé par le néant.
Des sourires figés
Il revoit l’illusion
Et ses traîtres baisers.
Il vit frénésie
De larmes amères,
Joie évanouie.
Il craint encore les peurs,
Ces ombres du passé
Qui effacent couleurs.
Il panse blessures
De tant de souffrances
En ces nuits obscures
Il est toujours l’enfant,
Ce Pierrot lunaire
Qui pleure au firmament
GALIA
----------------
Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.