Je pars vers mon enfance perdue,
Là où les sentiments restent purs,
Là où les chagrins ne perdurent,
Là où le beau s'est perdu.
Dans le regard des mes enfants,
Je retrouverai le chemin chantant,
Des rires sourires et joies d'autan,
Leurs éviter de devenir trop vite grands.
Retrouver leurs jeux joyeux et innocents ,
Leurs tenir à tous la main en rêvant,
D'un monde de paix tout chatoyant,
Où vivre est un plaisir de tout instant.
Ouvrez-moi le passage qui mène vers lui,
Le monde des grands me brise me détruit,
Je ne veux plus de ses beaux et froids habits,
Qui camouflent les vrais sens de le vie .
Je suis à l'étroit dans ces vilaines manières,
Les mauvaises coutures blessent ma chair,
Vivre vêtue de ses manteaux de misères,
Je suis désolée je n'ai jamais su faire.
Retrouver la pureté jadis souillée,
Pour créer , imaginer,inventer
Un monde avec moins de travers,
Où être un adulte n'est pas pervers . Patricia
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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.
Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;
Georges Bernard Shaw.