Au coin de ton oeil une larme perlait
Sur ta joue lentement elle a glissée
Sur tes lèvres je l'ai vu stagnée
Je t'ai embrassé pour l'effacer

Dans tes yeux j'ai voulu me mirer
Car des eaux salées les inondés
Cet océan de peines aller te noyer
Sans reflêchir ton âme j'ai aimé

Nos échanges comme havre de paix
Pour nos maux à excorciser
Car le beau nous voulions le créer
Et de sourires guerrir nos plaies

Nos sentiments sont emmêlés
Reflets de nos deux fragilités
Souffrances de deux écorchés
Estime de nous a retrouver

Merci du bien-être partagé
Un trésor de rare beauté
Une source où je m'abreuvais
Des moments éternisés. Patricia

----------------
L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.

bonjour Patricia


ce poème teintée d'une nostalgie à fleur de peau est terriblement beau

merci pour ce partage

bisou

----------------

Bonjour Alain

Merci de ce compliment mais je ne mérite pas autant d'éloges ! Là sincèrement je suis génée ! Bisou

----------------
L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.

Les yeux dit-on sont le miroir de l'âme et tu nous le prouve par la suggestibilité de tes mots.
HONORE

Un très joli poème où beaucoup de générosité apparait,

De la pudeur et un zeste de sentiments partagés,
Et voilà un écrit partagé avec sincérité!!


Merci et

Bonjour à tous


Honoré : Les yeux disent ce que la bouche travesti merci
Roky59 : Les eaux profondes de l'âme qui nous chavirent !!! Merci
Nad34 : Merci !! Il est une chose que je n'ai pas apprise tricher avec les sentiments ! Ma seule richesse sur terre mon coeurs et ses élans ! Misère de misère je suis dans la galère et que vais-je devenir dans cette galère lol ! Merci de ton passage

----------------
L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.

J' ai aimé te lire .Dans cette délicatesse du regard .EVY

bleus ou noirs tous aimés tous beaux
des yeux sans nombre ont vu l'aurore
ils dorment au fond des tombeaux
et le soleil se lève encore....( Sully Prudhomme)

quand les larmes suivent le cours qui remonte à la source des mots...

bien joli texte

Vinicius

----------------
"Ce qui a le moins vieilli en moi c'est ma jeunesse"...Et il escaladait l'échelle qu'il avait appuyée à rien pour aller marier une girouette au vent