Je t'invite dans mon paradis
Ouvrons la porte des sourires
Ici personne n'est proscrits
L'important est d'être réceptifs
Oublions un peu nos soucis
Ceux sont les choses de la vie
Offrons-nous une journée bénie
Peinte de moments esquis
Trouvons le plus haut peuplier
Il nous servira d'escalier
Et ainsi dans le ciel nous promener
Sur un rayon de soleil pour allée
Nous trouverons le lac des éclats
Pas de cris mais ceux de joie
Accostée une barque d'état
Pas tristes mais ceux des émois
Prends ma mains sans peur
Ensemble combattons nos peurs
Le vent ce grand farceur
D'une brise nous donnera de l'ardeur
Ouvrons grands nos yeux
Trouvons la visions du deux en un
Enfin vivre un amour heureux
Sans avoir peur des lendemains
Ces mots sont le chemin
Un éclat de moi ce matin
Un besoin d'un toi certain
Un nous comme dessein. Patricia
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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.
Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;
Georges Bernard Shaw.