J'ai vingt, trente, cent temps
J'égraine chaque moment
De mes malheurs pesants
Avec une horloge à mille sens
La course contre les ans
Stopper ceux du présent
Pour n'être ni morte ou vivante
Et oublier les tourments
Des douleurs infinies
Supplier la folie
Et vivre endormie
Connaitre le répit
Totale amnesie de mon piètre esprit
Plus l'utilité dans le si
Un mot qui me fragilise
A l'agonie je préfére le dénie .Patricia
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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.
Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;
Georges Bernard Shaw.