Le denie comme fuite
Semble une chose infantile
Mais devient un acte utile
Pour faire naitre des ensuites

Lucidité d'une douleur exclusive
D'un état émotionnel trop excessif
Des mes souffrances intensives
Issues de malheurs consécutifs

Une dérive pour une survie
Lorsque en moi je me suicide
Et que mes vécus me paralyse
Mais d'envie je crève de vie

En plongée dans mes abimes
Puisque touchée je chavire
Je vis mes pensées chagrines
Mais Seule en sourdine .Patricia

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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.

vis la vie à pleine vie camarade, c'est notre seul luxe...

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Vivre n'est pas une fatalité , c'est une chance ,rien n'est tracé c'est nous qui l'écrivons de nos larmes de nos joies
alors je te lance ce que tu m'a dit =VIS OSES

J'aime ta série vertigineuse

bisous

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Encore un passage émouvant...Je retiendrais surtout le "Mais d'envie je crève de vie"....Merci pour ce partage...Bises des vignes...

Bonjour

Phil : Merci

O'Maley : Je ne croque pas je dévore !! Merci

Alain : Ma vie n'est point une fatalité mais de perpetuels défis !! J'ai le culot de vivre toutes mes émotions et je me trouve une normalité de le faire !! Ma psy me dirai " Patricia tu vas bien puisque tu es à même de pouvoir exprimer les émotions de vie " ! Merci de ton passage

Dom : Merci de tes passages et pour tes commentaires , je me repète mais ton Bonnie and Clyde une merveille !! Merci

A tous bonne rentrée

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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.

Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;

Georges Bernard Shaw.