"Sans salut suprême, l’être s’enlise
Et sa vie s’effeuille aux infimes brises
Le combat intérieur ne s’achève vraiment
Qu’au retour de l’âme aux sources du firmament"
Ta poésie m'interpelle et agite en moi les doutes de ce combat entre la sagesse et l'élan charnel que tu manipules si bien derrière ton castelet le temps d'une séance qui ressemble à notre passage sur terre. Le rideau tombera et les personnages s'évanouiront confondus aux clameurs d'un soir qui se désaltèrent aux sources du firmament. Bravo.