Nous voici au soltice de nos adieux
Croisement de regrets et souvenirs heureux
Qui embrument souvent l'éclat de mes yeux
Lorsque je suis en manque de vous deux
Je vous jure de trouver l'apaisement
Et de vos asbences en faire un challenge
Dissocier l'amalgame de mes sentiments
Et puiser dans la peine toute ma puissance
Vous êtes partis prématurement
Il me valait trouver des aboutissants
Les deuils donnent des naissances
Des drames vient la connaissance
Mes états d'âmes ne seront plus chancellants
Seules quelques pensées larmoyantes
Marqueront annuellement ce triste événement
Vos prénoms je les évoquerai en souriant
Il me semble souvent percevoir vos présences
Une chaleur invisible et réconfortante
Vous êtes mes étoiles qui brillent constamment
Mes enfants qui veillent sur moi du firmament. Patricia
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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.
Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;
Georges Bernard Shaw.