Belle Orléans.
Ville où âmes hâtées se reposent
Des agitations de l'au delà , tu
Disposes belle Orléans sur ton séant
D'une haute cathédrale en pièce de
Musée amusée, t'étire lentement, trempes
Belle Orléans, tes pieds dans l'eau
Caressante , en cette journée, soleil en
Octobre rayonne, tes mains agiles posées
Derrière toi, tu siffles et chante l'air,
Le refrain de tes saisons d'automne.
Ton corps svelte, quelque peu allongé
S'étire doucement tandis que de ta
Poitrine, seins ravissants nourissent tes
Enfants, élégante au réveil, tu balaies
De tes yeux l'horizon, pendant que de tes
Mamelons jaillissent laits abondants.
Des hommes derrière toi, figés, paresseux,
Amoureux, courant sous les bois,
Posent gibiers à tes pieds, dame nature
D'une tendresse bonne enfant, tu
Bascules pour que gouttes parviennent jusqu'aux
Lèvres de tes enfants. Ta franchise, ta
Sainte simplicité, ton immense générosité,
La grandiloquence, parfois de tes idées
Se projettent sur les terres sur lesquelles
Doucement, tu t'es élevée, tu marches
Maintenant contre le vent puis te précipite
A tes travaux ménagers. Tes enfants jouent
S'émerveillent de ta beauté. puis tu te laves
Des eaux de la passion, t'habilles patiemment,
Te maquilles des couleurs du prinptemps, ta
Peau blanche immaculée recouvre mon visage,
Belle Orléans car tu acceuilllis par le passé,
Sainte dans tes bras ; Jeanne te défendit, te
Garda contre l'ennemi, aujourd'hui, tu
Acceuilles, loges prudemment, hommes
Et travailleurs venus d'horizons lointains,
Et en bonté, que tu nourris de ton propre sein,
Elèves et assagis. Belle Orléans, je ne te dirai
Jamais assez combien tu as été, combien tu es
Encore dans ce coeur qui est le mien,
Présente, savoureuse, enfermée par
Souvenirs enlaçée, dans mes fibres que tu
As nourris, apaises-toi de mon sourire
Charmeur, je te désires, oui, naturellement,
Belle Orléans, mais je sais trop que de grandes
Vérités s'éteignent sous le ravissement du parfum
De tes cheveux, lorsque mes lèvres cupides
Embrassent doucement ta peau, ton cou, ta
Nuque sucrée, Belle Orléans, je m'oublie
Contre toi charmé, bascule dans l'hébétude,
A genou célèbre ta grandeur, ta puissance,
Les charmes langoureux de ton flegme
Provincial. Et je me perds, aimé par tant
De beautés, de bonté, sombre dans l'adoration,
A côté de toi ploie et m'endore dans tes
Bras, belle Orléans, nous nous aimons.
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