Re: MA VIE...
Contre les vents des marrées hautes,
Au gré des vagues qui meurent aux côtes,
J’élis une barque et rame seul vers l’ile où l’ange accueille en hôte.
Malgré l’épine au champ des pierres
Et la résine qui noie le lierre,
Je plante une fleur et hume seul l’odeur des mots entre les vers.
Malgré l’orage et en dépit
Du pas qui glisse vers le répit,
Je gravis seul ce mont légué par la nature sur un tapis.
Merci pour cette belle poésie Rachid, je pense que le soleil passe tous les jours pour enrichir le passé, et que l'avenir est une décision que l'homme doit prendre maintenant pour meubler l'inconnu et prédire un peu l'imprévu...