L'ivrogne et tes vers.
Je te lis entres mes bouteilles
Et mes vers qui s’affaissent
Tes larmes millésimes
Et tes grappes de mots, font
Du fort bien bon vin
Mais je dois partir, sinon
Je manquerai les arbres
Entre lesquelles passe mon chemin
Et je préfère le ricanement de la vigne
Que l’illusion de ton sourire
Ivrogne que je suis
Ma peine me suffit
autresens.
----------------
A l'éxil des mots; au coeur des sens.