Ne me dites pas que la crise va passer
Elle existe parce que certains la voulez
Qui a donc donner les ordres aux banquiers
Tout cela avait été calculé, bien orchestré
Où est donc passé l'argent, les deniers
Nos cols blancs les ont surement planqués
Car ils y a des règles qui ne peuvent dérogées
Les grands fortunés ont toujours vu le vent tourner
Car si maintenant nos loyer sont durs à régler
Les pressions au travail toujours plus accentuées
La classe aisée de la société ne fait que prospèrer
Et nous laissent nous entre-tuer dans nos quartiers
Sommes nous tant résignés pour nous laisser mener
Déjà par le bout du nez mais aussi par le porte-monnaie
En nous laissant endoctriner dans des stéréotypés
Un bouillon resservit à chaque fois depuis tant années
Alors que cesse cette histoire qui ne fait que cacher
Nos dirigeants et leurs jeux de détournements d'argents
Et poussent le bouchon à nous faire croire vraiment
Que nous avions un pouvoir d'achat dans le passé. Patricia
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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.
Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;
Georges Bernard Shaw. 
