Que d’émois
Quelques larmes s’étendent
Des maux insurgés entendent
Des mots qui touchent le fond
Un cœur frisquet tourne en rond
Des silences attardés, des yeux déviés
Des écrits qui touchent à céder ses ailes
Fluide impétueusement comme du miel
Une passion traduit en toute fébrilité
Je me retarde sur des mots d’espérance
Tout mon cœur, je me conduis en transe
Des gloses montent jusqu'Ã ma poitrine
Laissant se hisser jusqu'Ã mes narines
Le dos encaissé dans le mur du silence
Le visage en expression en opulence
Un appel montant aux sensoriel
En état de transe, plainte cruelle
La gorge nouée je vis ce sentiment
J’ai mal aux mots, yeux rougis d’émois
L’encre a déposé un bouquet émouvant
Un parfum d’émois s’élevant à moi
merci !
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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.