"Et captif de tes bras, je me vois rose qui défie
(Comble de l’absurde !) Hélas, une tornade
J’ai cru pouvoir te déserter Ô ma patrie !
Ô ma source de paix, ma tendre sérénade
Ô Aube écarlate qui colore mes nuits
Pardon et trêve de ces stupides bravades !"
J'avoue que tu m'as pris à contre pied jusqu'au moment de ta captivité par la mère patrie. J'ai beaucoup apprécié cette manière de sceller dans la même fougue l'amour de la femme et celui de la patrie.
Je trouve courageux et honnête de ta part de piétiner ton grade pour muer le non en oui car son appel n'a d'égal que le sentiment que je voue à celle qui m'a mis au monde.
Encore une fois Si Rachid je te remercie pour toutes ces émotions que dégagent tes écrits et du plaisir qu'ils suscitent en moi.
Charef.