En ce lointain perdu où la voix s’arrête,
Rebondit en écho l’image muette.
A travers le brouillard l’aube est souvenir
Qui m’emporte en envol, refusant de mourir.
J’approche une étoile, lueur que je poursuis,
La nuit n’est que le jour qui enfin s’obscurcit.
Il n’existe douleur amère du vaincu
Quand vivre n’est en rien un privilège indu.
Et je peux être heureux, n’avoir été choisi,
Jusqu’ici arrivé et d’ici reparti.
Un chemin sans repos qui cherchait à naître
Avant que d’être né, pour mieux disparaître.
GALIA
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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.