Mains posées sur le front
Il plisse un peu les yeux,
Le soleil l’éblouit,
LÃ , au bord de la mer,
Flottant dans son imper.
Mais il ne bouge pas,
Il y semble échoué,
De toute éternité
Dans le sable mouillé.
L’on ne peut deviner
Depuis combien de temps
Il est là qui attend,
Des heures ou des années
Regardant l’horizon,
La vague en mouvement,
Le rythme des marées.
Puis il baisse les bras,
Le regard un peu las
Et plonge dans la nuit.
GALIA
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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.