Mon cœur endolori
Aussi noir que les sombres nuits
Le destin nous a conçus
Que de l’absolu
La limite extrĂŞme
De la douleur de la vie et ces drames
Les détresses qui m’en ferme
A chaque fois une chose me blâme
Sur le sort versant des larmes
Que mon cœur et ces trames
Il est submergé de flammes
La réalité est infâme
Le destin est émerveillé
De me voir Ă©veiller
De me voir constater
De me voir supporter
La fidélité est devenue rare
La sincérité prépare son départ
Et que l’amour
De nos jours
Un train qui passe
Et ne laisse que des traces
Aspirant son haine
DĂ©plorant ces peines
Le temps qui a tissé des fils dans le passé
Des chagrins et des blessures laissés
Rempli de tristesses
Rempli de faiblesses
Ma plume est minaudée
Mon âme fatiguée
Je n’ai plus la force d’écrire
De quoi je parle quoi dire
Même les pensées me fuir
merci
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