J'avais un ami un reflet dans le miroir
Une parallèle dans mes moments noirs
Un visage un esprit imprégnés dans ma mémoire
Une âme pour m'aider à sortir de l'armoire
Je n'ai plus l'écho de tes mots
Toi qui savais faire naitre le beau
Je n'ai plus l'humour de tes maux
Que nous partagions tels des jumeaux
Depuis ton absence il fait froid
Mon équilibre est rompu et je dois
Sur mon fil ne pas basculer dans l'effroi
De te sentir actuellement en désarroi
Où es-tu mon ami j'ai le vide de toi
Mes pensées secrètes je te les livre le soir
Ouvres tes fenêtres la lune te parlera de moi
Nos vies en parallèles il etait une fois. Patricia
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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.
Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;
Georges Bernard Shaw.