Lorsque au-dessus de moi
Souvent le ciel me pèse
Joie de vivre est mon aloi
Mon coeur en est fort aise
D'un carré de verdure
Faire naitre une parure
D'un rayon de soleil
Un souvenir maternel
D'un bonjour échangé
Une journée appréciée
D'une oreille attentive
L'écho de ses dérives
De rires d'enfants
Des sons enivrants
D'un partage de rien
Un bout de chemin
Lorsque au-dessus moi
Souvent le vent me pèse
Je promets et fais foi
De motivation je ne baisse
La solitude me fortifie
Le partage est sans profit
Le pardon comme bastion
Le qu'en-dira-t-on aux cons
La folie des grandeurs
Voyage vers l'horreur
Nul besoin d'ampleur
Simplicité en tout honneur
Des larmes versées
Des défis en chapelet
D'un amour endeuillé
Des bonheurs mémorisés
Lorsque au-dessus de moi
Souvent le ciel me pèse
De lui je ne suis la proie
Humilité pour toute noblesse.Patricia
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L'homme raisonnable s'adapte au monde, celui qui est déraisonnable persiste à vouloir adapter le monde à lui-même.
Aussi tout progrés dépend de l'homme déraisonnanble;
Georges Bernard Shaw.