Comme la sève invisible vivifie l'arbre, le rai lumineux du soleil réchauffe et féconde la terre dans un chant silencieux. Ton poème, un jaillissement de vie, la lumière frémissante du feu, une prière de reconnaissance, comme l'oraison jaculatoire qui s'élance au coeur de l'homme qui rend grâce et louange à la beauté du monde en renaissance.
Un poème pascal.
Amitié Pierre-Louis,
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Jamais je n'irai
Aussi loin que me conduit
Le chemin d'amour
(haïku de Hyacinthe Vulliez-"la joie d'être"-Ed "les Amis de Crespiat")