Janvier 2005 :
Pour moi, tu étais un modèle
Mais, je ne t’ai jamais vu.
Je t’aimais tellement
MĂŞme si tu ne le savais pas.
Je t’admire, pourtant
Je ne connais, sur toi, que si peu de choses.
Si peu, que je ne pourrais te décrire,
Tes goûts, ton courage, ce que tu as fait, …
Ton courage, ta bravoure, ton sans froid, …, toi !
Tu as abandonné tes frères, tes sœurs, tes enfants,
Tes amis, ta famille et moi.
Seul maintenant, changeant d’avenir et de vie.
Moi, seule, sans toi, sans modèle gardant une souffrance,
La souffrance de ton regard fermé,
Qui dormait, qui dort et qui dormira pour l’éternité.
FĂ©vrier 2005 :
Je t’admire et ne peux vivre sans toi,
Vivre, rire, sourire, ne plus admirer.
Tu es la vie, maintenant je ne suis rien,
Je n’ai plus de goût, plus le goût de vivre.
Tu étais mon sourire, mon cœur,
Sans toi, je ne suis que triste.
Je n’aime plus, je ne vis plus.
Sans toi, je ne suis rien,
Je n’existe pas.
Tu étais mon cœur, il battait fort,
Mais il ne bat plus.
Un jour, nos cœurs se rejoindrons,
Mais, comment est-ce lĂ -bas?
N’est-ce pas bizarre?
Seul, sous terre, dans le noir?
Sans un regard, un sourire,
Tu restes immobile, figé et mort.
On aime toujours un oncle,
Je t’aime et pleure sans toi !
Mars 2005 :
M’entends tu d’où tu es?
Me vois tu qui te parle et t’écris?
Le drame tragique qui nous fut arrivé est pour toi,
Un horrible geste, oui, mais aussi un grand courage.
Seulement, une question se pose encore : Pourquoi toi?
Le seul que je ne connaissais pas, cet oncle qui manquait,
À mes côtés, dans ma vie, près de moi.
Les autres ne veulent pas de moi !
Aujourd’hui, il ne manque qu’une personne,
Et cette personne, c’est toi, il y a un vide.
Notre famille t’aimait mais tu n’en voulais plus,
Tu l’abandonnes, la laisses pour toujours.
Nous te protègerons, même sous terre.
Avril 2005 :
Les jours passent,
Je suis une fleur
Mes pétales fanent,
Sans toi,
L’engrais n’existe pas,
L’eau ne vient plus,
Elle diminue.
En partant,
Tu laisses beaucoup de malheureux,
Ils t’aimaient, mais toi,
Tu ne voulais plus faire parti de ce monde.
Monde infâme, monde cruel.
Tu as préféré l’enfer.
Maintenant, tu loges :
POMMES des ORMAUX !!!
Et seul, tu demeures.
Triste, viennent te voir tes proches,
Sous ces fleurs fanées, et pleures.
On t’aime, tu es super !!!
Dans nos mémoires, tu resteras,
L’oncle que l’on a rêvé d’avoir.
Un jour, je serais fière et heureuse,
Ce grâce à toi, qui me guide aujourd’hui.
Sans toi, je ne serais pas se que je suis !
Admirable, je t’adore,et pense à toi car je t’aime.
voici le début. je les écrit à l'âge de 14 ans. bonne lecture.
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c'est en Ă©tant ce que l'on est que l'on devient soi !!!