Marylou, foncièrement 2009
Love me, please, Marylou
La fraîcheur de ton corps lové s‘appuie sur son toit
Sur moi
Mon porte-vues joli tuile notre amour, tu
Les vois, mes redevances
Au travers, plastiques, élastiques
Dansant vainement en mille diamants
Sur les pages, en avance
Mes dégrèvement suivent le cours du fleuve
Les prélèvements qui plafonnent comme le cri
Vénéneux, sur-taxé, intoxiqué de l’araignée
D’un soir, revenue
Tu vas poser des limites sur mes tableaux paysages
Sur les frontières de mes mites peu fières
Des limites, pas en reste, reparties au Bal des Laze
Peut-être s’effaceront-elles ?
Et tu pourras te frotter à l’ISF, à ton SDF
En pattes d’EF, around Tazieff ou Polnareff
Comme une poupée dans la Rue, qui contribue
Et ta voix s’essouffle : qui dit oui, qui dit non…
Holidays, oh holidays !
Et moi Johnny, je paie de ma peau
Locale tes opérations, tes cotisations
En fractions brutes de fonderies
D’ors et d’argents
Orfèvrerie fiévreuse
Dans la chambre vide
Ta tête sur mon épaule
Tes mains s’imposent sur mon cou
Sur mon compte en taux de taxe
Taxe auto, globale, et tu devances
Avances, redevances, références. Douce France.
On y pense
Pensive, tu bailles
Aux détails, alors good bye
Johnny, Johnny ? Mon porte-vues décroche
Marylou, dans le bronze du crépuscule
Plus de peps, déjà tu sommeilles
Abattement contre X
Mary, et ta voix, en fatigue peu commune, s’éteint :
Loup, loup…
Love me, please love me Marylou
https://m.youtube.com/watch?v=sl0Jcyx-F6Y