Ton amour n’est qu’océan de vie.
Ton amour c’est la mer qui m’enveloppe.
Épistolaire...
Sur l’air marin de tes mots dits, j’aime.
J’aime ce reflet humide posé au creux de ma main,
cette vie, ma vie, qui est Océan,
oui – à la fois simple goutte d’eau et tout l’océan.
Un océan de rêve, un océan déchaîné, enchaîné,
qui jamais ne m’indiffère.
L’écume aux lèvres me donne du vague à l’âme,
du rouge corail, soupes aux algues sargasses
qui m’agacent, sagaces.
Je suis ton poisson pris, ma Sirène déchantée.
Je suis, lĂ , ton PĂŞcheur,
et tu ne pénélopes.
Tu m’enveloppes.
En corollaires...
Oui, tu es lĂ , toi.
Et plonger dans ton regard.
Et tout savoir, tout ressentir,
d’un coup de vent violent et passionné.
Plonger dans ton cœur et frémir, ma main posée sur ta joue.
En joue.
Et puis comme un trésor rechercher la douceur de tes lèvres.
Et t’embrasser, t’embrasser, t’embrasser…
Juste une simple goutte d’eau,
au creux de ma main,
dans l’océan.
Qui peut-être est l’Amour.
L’Amour qui peut être vivre.
Vraiment. Tout simplement.
Ton amour m’enveloppe.
Auréolaire...
Et puis un jour, sur l'Ă©cume
du néant,
je ferme les doigts...