Image d'une rose des sables photophiltrée avec le texte du poème
Version plus récente, plus travaillée du coup,
Donc moins spontanée, aussi, en jet poétique :
Chevauchant au désert, le regard attiré
Par les vents de velours d’une Rose si douce,
Qu’aucune autre beauté d'ici jamais ne pousse,
Le Chevalier cambra son coursier, chaviré …
Le temps de la cueillette, alors il décida.
« Que nenni, je te pique ! Je prendrai tes pensées,
Je resterai plantée en ton cœur, mon soldat ! …»
Piquante, tôt cueillie, à l’amour s'enroula :
Quand de Prince il n’y a, plus sages sont les Fées …
Cavalliero
Vous me direz ...