U ne douce fée s’en est allée
N ous n’oublierons pas sa bonté
E t sa scripturale agilité.

F aut-il vous le dire ?
E lle vénérait la rime,
E ncensait la métaphore

E ncore et encore !
S euls nous sommes tellement seuls,
T ellement ! Que nous souhaitons conserver son linceul…

P artie tu es partie
A s-tu penser à nous tes enfants ?
R essussité ton talent
T ous nous souhaitons ressuscité ton talent
I llustre maman…
E ntendre une ultime fois ta voix. Sa sympathie.

Adieu Annie, tu es au Paradis des poétesses pour l’éternité.



Ultime solitude - le mercredi 23 janvier 2008

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".