Goût de liberté
J’ai voyagé très loin dans le creux de tes bras.
Tu maintenais la voie au-dessus des étoiles
Et l’on gravait l’espoir sans aucun embarras
Sans savoir où nos pas mèneraient sous les voiles.
j’ai voyagé très loin dans le creux de tes bras.
Je bravais tous les jours la fureur de la vie
Qu’elle entraîna le vide au détour d’un chemin.
Mais tu n’avais pas peur, tu n’avais qu’une envie
Ranimer le désir tel bouquet de jasmin.
Je bravais tous les jours la fureur de la vie…
Quant à toi, tu savais tout l’amour de mon cœur.
Tous les rires joyeux que dessine un bonheur
J’aimerais retrouver le parfum de la rose.
Quant à toi, tu savais tout l’amour de mon cœur.
Aurais-tu convenu d’un goût de liberté ?
Pouvais-tu concevoir une métamorphose
Et gardé dans ton âme un vœux d’iniquité ?
Aurais-tu convenu d’un goût de liberté ?
Maria-Dolores
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