Plume de platine Inscrit le: 9/5/2017 De: |
Un éternel adieu (repose en paix Sylvain) Ô mort, combien tu es amère, Quand tu emportes un ami si cher, Quand tu as pris notre Sylvain à revers.
Feu Shovnigorath et sa belle plume Étaient parmi nous hier. Ce n'est pas merveille D'aimer ses superbes vers.
Plus virtuose qu'inspiré, C'était un poète hors pair.
Est-il mort ou avait il besoin de se refaire. Non, notre pauvre ami est mort, Comme meurent la plaine, la colline l'hiver.
Ton ombre, bon compère, serait légère à la terre. Et ta place, dans nos coeurs, restera entière.
Bah ! La Parque ne manque pas d'air. Se prend elle pour un mystère.
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